Recherches Arctiques

Actualités de la recherche scientifique
ISSN : 2755-3755

Comprendre les relations complexes entre nuages, aérosols et rayonnement.

Publié le 09.07.2012 - Communiqué de presse du CNRS
Les observations spatiales actives, une nouvelle clef.

Les observations du lidar[1]Acronyme anglais de l’expression Light detection and ranging, détection à distance basée sur l’analyse des propriétés d’une lumière laser renvoyée vers son émetteur. Voir Wikipédia : Lidar. Calipso et du radar[2]Ancien acronyme devenu nom commun, pour radio detection and ranging en anglais. Voir Wikipédia : Radar CloudSat, ont permis d’observer la couverture des nuages en Arctique, leur distribution verticale et la phase de l’eau qu’ils contiennent (liquide ou glace).
« Les résultats montrent que des nuages de glace, situés entre 4 et 10 km d’altitude à des températures comprises entre -20 et -70°C, peuplent tout au long de l’année la troposphère arctique« .

On peut lire aussi : « Ces nouvelles données contribuent à faire progresser les modèles de circulation générale de l’atmosphère dans une région [le pôle Nord] particulièrement exposée au réchauffement climatique. ».

Notes de bas de page

Notes de bas de page
1 Acronyme anglais de l’expression Light detection and ranging, détection à distance basée sur l’analyse des propriétés d’une lumière laser renvoyée vers son émetteur. Voir Wikipédia : Lidar.
2 Ancien acronyme devenu nom commun, pour radio detection and ranging en anglais. Voir Wikipédia : Radar