Le CNRS se félicite du lancement de la première stratégie polaire française
Véritables sentinelles et victimes du climat, l’Antarctique et l’Arctique sont au cœur des changements globaux : la fonte des glaciers et de la banquise, les pollutions, la dégradation des écosystèmes, la perte de biodiversité, l’intensification des activités industrielles et ses conséquences, … sont autant de sujets qui mobilisent les scientifiques notamment du CNRS, toutes disciplines confondues.
Le CNRS est ainsi très engagé dans la recherche sur les pôles, sous toutes ses facettes, à travers par exemple l’étude du changement climatique et de son impact notamment sur le cycle de l’eau, les océans polaires et les glaciers, mais aussi l’observation des populations animales et humaines. L’organisme y a également déployé des services d’observation du climat et des communautés animales, majeurs et reconnus internationalement, avec une approche interdisciplinaire.
Chaque année plusieurs centaines de chercheurs et chercheuses du CNRS et de ses partenaires bénéficient de la logistique offerte par les stations de recherche polaires, comme les bases de Concordia et Dumont d’Urville, qui permettent d’effectuer des recherches inédites. Les conditions extrêmes de ces sites offrent également un terrain d’investigation exceptionnel en astronomie, sismologie et médecine…
Lire la suite sur le site du CNRS et voir aussi l’article du 15/04/2022 paru sur Vie publique (par La Rédaction)